La récente loi Asile et Immigration inquiète particulièrement : elle durcit les exigences de langue pour les titres de séjour, sans tenir compte des réalités vécues par les apprenants, et encourage une dématérialisation excluante.

Face à cette situation, les centres socio-culturels appellent à un engagement politique fort : maintenir une offre de proximité, soutenir les actions de terrain, co-construire des parcours adaptés, et associer tous les financeurs à la réflexion.

Des événements comme le Festival des Liens Interculturels (27 mai) ou la Semaine des Réfugiés (20–21 juin) permettront de faire entendre cette voix. L’enjeu : garantir à chacun un accès équitable à la langue, à l’autonomie… et à la citoyenneté.